V. Note méthodologiqueLe rapport RSE de Criteo suit les dispositions de l’article R. 225-102-1 du Code de commerce. 1. Période de reportingToutes les informations collectées et présentées dans ce rapport RSE couvrent la période du 1er janvier au 31 décembre 2017. 2. Périmètre géographiqueL’objectif du rapport RSE est de porter sur un périmètre équivalent à celui du rapport financier. En raison d’un grand nombre de bureaux, et du risque notable de collecte d’informations erronées ou incomplètes (comme par exemple la consommation d’électricité, la consommation d’eau ou la gestion de déchets) dans les petits bureaux, Criteo a pris la décision de n’inclure que les bureaux les plus significatifs dans le cadre de la collecte de données quantitatives. Ainsi, pour garantir la fiabilité de ses informations chiffrées, et dans une optique d’amélioration continue, le périmètre de ce rapport n’inclut que les principales entités légales à travers le monde, c’est-à-dire celles qui sont comptablement liées à une infrastructure de type data center ou qui comptent plus de 50 salariés à la fin de l’année 2017. Point d’attention : Les entités légales qui ont rejoint le périmètre financier de Criteo au cours de l’année N devraient être incluses dans le périmètre de reporting à partir de l’année N+1. Ainsi, pour l’exercice 2017, le périmètre de reporting pour les données chiffrées couvre les entités et bureaux suivants (soit 91 % des effectifs totaux de Criteo) :
3. Pertinence des indicateurs RSELes indicateurs retenus par Criteo pour ce rapport ont été sélectionnés sur la base :
4. Consolidation et contrôles internesLes données collectées au cours de l’élaboration de ce rapport sont contrôlées par des « responsables validation ». Pour chaque indicateur, une personne dédiée est ainsi chargée du contrôle des données et doit réaliser les tests de cohérence définis dans la procédure de reporting de Criteo. Afin d’éviter les incohérences entre les différents indicateurs, chaque responsable validation effectue les contrôles suivants :
En outre, concernant les variations annuelles de personnel, l’équipe Ressources humaines réalise le bouclage des effectifs suivant (en tenant compte des acquisitions d’entreprises potentielles) : 5. Contrôles externesDans un souci de fiabilité et de précision, Criteo mandate, depuis 2016, un organisme tiers indépendant pour vérifier et valider la fiabilité de ses informations RSE. Il est essentiel de mettre en place un contrôle approfondi de ce type et les données et les méthodes de calcul utilisées doivent être vérifiables. La nature du travail de vérification ainsi que les conclusions reçues sont disponibles sur demande. 6. Indicateurs RSE — Méthodes de calcul et d’estimationEffectifs :Les effectifs présentés comprennent tous les salariés de Criteo au dernier jour de l’année :
Rémunération :Les données liées aux rémunérations sont exprimées en valeurs brutes et incluent les salaires fixes et variables. Les taux de change utilisés sont les suivants :
Formation :Lorsque les heures de formation présentielles concernent des sessions organisées sur deux journées consécutives, seules les sessions terminées au cours de l’année N sont considérées. Si une session spécifique a commencé au cours de l’année N pour se terminer au cours de l’année N+1, elle sera prise en compte dans les calculs pour l’année N+1. Lorsque les salariés ont participé à plusieurs sessions de formation au cours de la période considérée, les calculs doivent tenir compte de l’ensemble des heures de formation. Les heures de formation des salariés ayant quitté l’entreprise au cours de la période considérée sont également incluses. Au contraire, la formation par Criteo des stagiaires, sous-traitants ou consultants n’entre pas dans les critères de calcul. Heures de formation en présentielSont inclus :
Sont exclus :
Heures de formation en ligneSont inclus :
Sont exclus :
Déplacements professionnels :Les données fournies par l’agence de voyage EGENCIA incluent tous les trajets effectués en avion à l’exception des destinations en Corée, au Japon, au Brésil, en Russie et aux Émirats Arabes Unis. Les trajets en train ne sont pas calculés. Ainsi, les déplacements professionnels considérés dans les émissions de CO2 représentent 91 % des voyages effectués. Consommation d’eau des bureaux :Dans le cas où les données réelles ne sont pas disponibles, les méthodes de calcul utilisées sont basées sur la consommation quotidienne5 moyenne d’eau par personne soit 0,04 m3/jour/salarié. Consommation électrique des bureaux :Dans le cas où les données réelles ne sont pas disponibles, les méthodes de calcul6 utilisées sont basées sur une consommation électrique moyenne par mètre carré : 206 kWh/m2 par an. Consommation électrique des data centers :
Quantité d’énergie renouvelable consommée dans les bureaux et les data centers :Les calculs ont été effectués sur la base du mix d’énergie renouvelable par pays recensé par l’ADEME, à savoir :
5http://www.ddline.fr/wp-content/uploads/2013/06/rapport_final_v2-sinteo-arseg.pdf Émissions de CO2 liées à la consommation électrique des bureaux :Les coefficients d’émissions par pays extraits de la base de données 2016 de l’ADEME ont été utilisés pour les calculs. Émissions de CO2 liées à la consommation électrique des data centers :Les coefficients d’émissions par pays fournis par l’ADEME ont été utilisés pour les calculs, à l’exception de Hong Kong, pour lequel un taux de 0,580 *10-3 issu de la base de données de CPL (fournisseur local d’énergie) a été utilisé. Quantité de déchets dans les bureaux :Dans le cas où les données réelles ne sont pas disponibles, le volume de déchets produits a été évalué :
7. Article R. 225-102-1 du Code de commerce — informations indisponiblesCompte tenu de la nature de l’activité de Criteo, l’entreprise ne produit aucune matière susceptible d’affecter gravement et directement l’environnement. Par conséquent, les thématiques réglementaires suivantes n’ont pas été abordées :
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